Depuis son arrivée à la présidence de la République, IBK boude l’avion présidentiel, un Boeing 737. Il préfère emprunter un jet d’une compagnie privée. Et Dieu seul sait le coût de ces incessants déplacements présidentiels.
Aujourd’hui, il semble que l’on envisage à Koulouba, l’achat d’un avion de commandement, digne du rang de l’homme. La crise, c’est pour les autres maliens.
La Rédaction
L’Aube