Transformé en entraîneur ramasseur de balle lors de la rencontre Argentine Nigeria au Elis Park Stadium de Johannesburg, l’entraîneur argentin, le légendaire Diego Maradona était toujours en conflits avec le 4è arbitre. Pour cause il dépassait toujours la limite du champ qui lui était réservé. Lors de la conférence de presse d’après match, après trente minute d’attente, Maradona fut son entré avec une pomme à la main. C’est en croquant cette pomme qu’il répondait aux questions des hommes de médias. Sacré Diego !
Les journalistes en gymnastique
Les talons et les souliers fonctionnent mal au mondial il faut avoir du bon basket adapter pour faire de la gymnastique à la recherche du ticket d’entrée. A deux heures des matches, les hommes de médias sont invités à faire le rang pour avoir le ticket d’accès à la tribune de presse. Malgré le choix des matches effectué par les confrères lors de l’accréditation sur le site Média Channel de la FIFA, seul un groupe restreint obtient le ticket, le reste s’inscrit sur la liste d’attente et fait le rang dans l’espoir d’en avoir. On en trouve quand même !
Va-t-on vers une interdiction des Vuvuzela ?
On entend plus les applaudissements ni les frappes de balle et les chants des supporters. Ce bruit d’attend a laissé la place à cet assommant concert de klaxons. Cette trompette plastique de 120décibels de Masincedane Sport du PDG Neil van Schalkwyk, fait fureur auprès des supporteurs sud-africains. Mais il donne la migraine à bon nombre de joueurs, entraîneurs, supporteurs, et journalistes. Décrié au début par la FIFA, le vuvuzela est la star de ce Mondial. Si il était au départ toléré afin de respecter la culture sud-africaine, il est aujourd’hui la cible de nombreuses critiques. Car le bourdonnement n’empêche pas que l’ambiance dans les tribunes, mais il rend également difficile la communication sur le terrain, les ondes des TV et radios. L’exemple frappant a été suivi lors de la rencontre Danemark- Netherlands :0-2, l’attaquant Netherlandais allait prendre un jaune pour avoir marqué un but en hors jeu. Il s’est précipité pour dire à l’arbitre que les Vuvuzelas l’ont empêché d’entendre le coup de sifflet. Pour Jordan Danny président du Comité d’organisation du Mondial « Si un pays en lice se plaint, nous agirons. Nous avons aussi entendu les télévisions et les spectateurs et c’est quelque chose à quoi nous réfléchissons. Mais pour le moment, rien n’a été décidé. »
Après cette déclaration une décision de la FIFA datant du Lundi 14 Juin 2010 à levé toute équivoque quant à son interdiction : Le Comité organisateur de la Coupe du monde a exclu, une interdiction des Vuvuzelas malgré les multiples critiques. « Les vuvuzelas sont ici et ils ne seront jamais interdites. » a déclaré Stan Schaffner. Le porte-parole de la Fifa a insisté que ces instruments représentent le symbole du tournoi, qui se tient pour la première fois sur le sol africain.
Ce bruit de grande ruche ferait croître sous peu les revenus des vendeurs d’appareils auditifs !
Où est la langue de Molière ?
Dans la rue, au stade, dans les tribunes, au marché ou dans les auto gares partout ou on passe, la langue de Molière cède la place à celle de Shakespeare. L’anglais étant la langue universelle, il est utilisé partout dans ce mondial surtout que le pays organisateur est une colonie anglaise dont la langue officielle est l’anglais. Les amis francophones se sont tous pliés à cela. Forcé !
Rassemblées par Aminata Mariko depuis Johannesburg