Le hasard du tirage au sort, effectué lundi sur le plateau de l’émission Score a abouti aux confrontations Djoliba-Stade malien et Nianan de Koulikoro-COB. Deux oppositions qui s’annoncent palpitantes au regard du parcours des quatre formations encore en lice pour la conquête du trophée de Dame coupe. Tombeur du Réal en quart de finale (3-1), le Nianan de Koulikoro tentera de démontrer que le costume de faire-valoir n’est pas à sa taille. L’équipe de la cité du Meguetan, quasiment condamnée à la descente en deuxième division, peut légitimement nourrir des ambitions pour jouer le premier rôle dans cette compétition. C’est presque devenu une tradition, chaque année une formation de « seconde zone » s’invite dans le dernier carré de la coupe du Mali. Cette saison, c’est bien sûr le Nianan de Koulikoro, lanterne rouge du championnat avec 13 petits points à quatre journées de la fin des débats et qui fait figure de gros outsider face au COB qu’il reçoit samedi prochain au stade Babemba Traoré de Sikasso. Les Koulikorois tenteront de se qualifier à leur quatrième finale après celles de 1994, 1999 et 2004. Mais le COB, double vainqueur de Dame coupe en 2000 et 2002 est un vieux routier de la compétition et l’équipe est en grande confiance depuis plusieurs semaines.
L’autre affiche des demi-finales de cette 48è édition de la coupe du Mali aura pour cadre le stade Amary Daou de Ségou. Elle mettra aux prises les deux poids lourds du football national, le Djoliba et le Stade. C’est dire que la cité des Balanzans sera le carrefour des toutes les passions ce week-end, avec d’un côté le Djoliba leader du championnat et qui ambitionne de réaliser le doublé et de l’autre, le Stade malien distancé en championnat et qui mise beaucoup sur la coupe du Mali. Tout laisse donc à penser que la ville de Ségou sera aux couleurs rouges-verts et bleus-blancs ce week-end. Le Djoliba qui a retardé l’échéance de son match de championnat contre le Stade malien, vient donc de se faire rattraper par le sort. Les Blancs ont l’occasion d’empêcher les Rouges de tout rafler cette année (Coupe-Championnat). Les pensionnaires de Sotuba, en ballottage défavorable dans la course au titre de champion, ont sans doute besoin du trophée de la coupe du Mali pour sauver une saison très mouvementée. Et la matérialisation de cette ambition passe par une victoire, ce samedi à Ségou devant le Djoliba.
Malgré tout, cette affiche conforte les joueurs de Hérémakono dans leur confiance. Ils gardent toujours à l’esprit leur victoire (1-0) contre le Stade en 2005 à ce stade de la compétition. appelons que la finale de cette 48è édition de la coupe du Mali est prévue le 23 août au stade Modibo Keita.
L’autre affiche des demi-finales de cette 48è édition de la coupe du Mali aura pour cadre le stade Amary Daou de Ségou. Elle mettra aux prises les deux poids lourds du football national, le Djoliba et le Stade. C’est dire que la cité des Balanzans sera le carrefour des toutes les passions ce week-end, avec d’un côté le Djoliba leader du championnat et qui ambitionne de réaliser le doublé et de l’autre, le Stade malien distancé en championnat et qui mise beaucoup sur la coupe du Mali. Tout laisse donc à penser que la ville de Ségou sera aux couleurs rouges-verts et bleus-blancs ce week-end. Le Djoliba qui a retardé l’échéance de son match de championnat contre le Stade malien, vient donc de se faire rattraper par le sort. Les Blancs ont l’occasion d’empêcher les Rouges de tout rafler cette année (Coupe-Championnat). Les pensionnaires de Sotuba, en ballottage défavorable dans la course au titre de champion, ont sans doute besoin du trophée de la coupe du Mali pour sauver une saison très mouvementée. Et la matérialisation de cette ambition passe par une victoire, ce samedi à Ségou devant le Djoliba.
Malgré tout, cette affiche conforte les joueurs de Hérémakono dans leur confiance. Ils gardent toujours à l’esprit leur victoire (1-0) contre le Stade en 2005 à ce stade de la compétition. appelons que la finale de cette 48è édition de la coupe du Mali est prévue le 23 août au stade Modibo Keita.
M. N. TRAORÉ